Auteure : Cecelia Ahern
Genre : Contemporain (drame/ deuil)
1 er Parution : 2004
Nombres de
pages : 414 (édition
J'ai lu)
Je résume :
Holly est une jeune femme qui
se retrouve veuve à l'âge prématuré de trente ans. Elle a bien du mal à
remonter la pente mais, elle réalise qu'elle peut toujours compter sur ses
amis, sa famille mais aussi et surtout, bien que surprenant, son mari. C'est un
homme de promesse qui à tout planifié pour l'accompagner dans son propre deuil.
Analyse & opinion :
Une note de treize pour
ce roman, il ne devait vraiment pas mettre destiné... Ce n'est pas qu'il soit
nul en soit mais, il fait beaucoup trop « vieux jeux » et fleure bleu
à mes yeux. Je m'explique :
Auteure &
Plume :
L’écriture
de Cecelia est très belle, même si un poil trop romantique à mes yeux, elle
n’en reste pas moins agréable à parcourir.
Néanmoins, trop de longueurs sont présente dans son roman ; sans parler des détails inutiles et de ses chapitres sans fin !
Néanmoins, trop de longueurs sont présente dans son roman ; sans parler des détails inutiles et de ses chapitres sans fin !
Histoire &
Thèmes :
Premièrement, tout le sujet
du roman tourne autour de l'amour. Une femme perd son premier amour, son
meilleur ami, son mari le tout en une seule personne. D'accord, on parle un peu
de la douleur mais, l'auteure ne s’étend pas non plus. Ce que je n'ai pas aimé
c'est le message qu'elle a fait passer : On ne vit que pour aimer. C'est
ce que clame son personnage principal en tout cas et, je ne suis pas de cet
avis. Il y a beaucoup de chose qui peut maintenir en vie, il n'y a pas que
l'amour bon sang !
Heureusement, le second thème
(enfin le troisième puisque le second est le deuil) est celui de l'amitié et
celui-ci est beaucoup mieux représenté : Des hauts et des bas, des vrais
des faux... L'auteure à fait un bon travail au niveau de ce thème.
J'ai beaucoup aimé le concept
des lettres, même si tout cela manquait de suspense.
« Certains passent leurs vies à chercher l'âme sœur sans jamais la trouver. Jamais. Vous et moi l'avons connue, pendant un temps trop court. C'est triste mais c'est la vie. »
Personnages :
Le personnage principale m'a
au début fait ressentir de l'empathie mais, plus j'avançais dans le roman et
plus elle m'agaçait. Elle avait un bon raisonnement la plupart du temps mais,
dès que le sujet tournait autour de l'amour c'était vraiment inconcevable pour
moi de lire des trucs pareils. « Je ne vivais que pour être la femme de
Gerry » Peut-être que certain(e)s lecteurs pense de la même façon, je ne
suis pas là pour juger mais, j'ai l'intime conviction qu'on vit déjà et surtout
pour soi-même pour ses rêves et ses envies.
Ses points faibles :
-Les chapitres trop longs
-Trop de longueurs et de
détails sans importances.
-La personnalité du personnage
principal, Holly.
-Le message principal que veut
faire passer l'auteure : On ne vit que pour chercher notre « âme
sœur », non.
Ses points forts :
-L'amitié y est bien
représenté
-Une belle écriture de la part
de Cecelia Ahern
-Elle à raison pour le
thé : c'est la solution à tous nos problèmes !
-Le concept originale des
lettres
« Mais je ne suis qu'un chapitre de ton existence, il y en aura beaucoup d'autres. Rappelle-toi nos merveilleux souvenirs, mais n'aie pas peur de t'en faire d'autres. »
Adaptation :
PSI love you est sorti
en film sous le même titre en 2008 réalisé par Richard LaGravenese. Il a
notamment réalisé Paris je t’aime ; De l’eau pour les éléphants ;
Sublimes créatures… Un
réalisateur spécialisé dans le contemporain et la romance donc.
Je ne
l'ai encore malheureusement pas visionné, je ne peux pas vous dire s'il suit le
livre, s'il est mieux ou si ce n'est même pas la peine de tenter le visionnage.
Cible :
Les lecteurs qui aiment les
histoires sentimentales dans lesquelles on retrouvent un humour léger, une
écriture touchante, des drames mais, aussi des prises de consciences.
Honnêtement, je sais que les veuves font parti de
la cible visée mais, non… Je ne peux décemment pas vous proposez cette lecture.
J’en ai le cœur serré rien que d’y penser, ça serait beaucoup trop douloureux, personnellement
je ne vous le suggère pas.
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