jeudi 2 août 2018

Happy Marriage ?!






Auteure : Maki Enjoji
Genre : Josei (romance)
1 ère parution (FR): 2009-2012
Nombres de tomes  : 10






Je résume le premier tome :


Chiwa est une jeune femme vivant encore chez son père qui à quelques problèmes d’argent. Pour contrer ledit problème, elle travail en tant qu’hôtesse la nuit, épongeant ainsi ces dettes. Pourtant, un jour, elle se voit proposer un mariage qui remboursera toutes les dettes de son père. Va t-elle accepter de se marier à un parfait inconnu, qui parait charismatique serte mais, aussi froid que la glace?







Analyse & opinion :


Honnêtement, je me suis fortement ennuyée tout le long de cette saga, beaucoup trop de points négatifs à l’horizon : Une note général de douze, je n’ai tout simplement pas aimée ce manga.






Auteure & Plume & Illustrations :



-Une écriture inintéressante, puériles pour un Josei. D’ailleurs, c’est un problème assez gênant : Ce manga classé Josei (à cause des scènes érotiques placée à outrances) alors que l’histoire et le contenue vaux simplement un Shojo. De ce fait, il me fait penser au manga « Jeunes mariés » qui est carrément similaires pour cela et, pour l’intrigue.

-Des illustrations simples mais, mignonnes qui collent cette fois-ci parfaitement au genre du manga. Quelques scènes de nus, mais rien de choquant. (Je veux dire part là, un ou deux tétons apparents, ni plus ni moins.)





Histoire & Thèmes :



-Une histoire banal, qui manque clairement d’originalité mais, aussi de suspens. C’est une saga que j’ai lue sur deux mois, je crois que je n’ai jamais mis autant de temps pour lire dix tomes, ça prouve l’addictivité que le manga peut provoquer…

-Seul et unique thème (en tout cas c’est l’impression que ça donne!) : l’amour. Il semblerait que Chiwa vit très vite pour ça. Vous le voyez pas mais, j’avoue j’ai levée les yeux aux ciels. Tant de clichés noient littéralement la romance (et l’histoire en général d’ailleurs) qu’on replonge inlassablement dans les mêmes rebondissements encore et toujours.

-Second thème : le travail. Toujours et encore plus. Quand ont pense que notre personnage principal masculin, alias Hokuto, ne peut pas travailler plus, et bien si ! Ce mec n’a tout simplement pas de vie social, l’auteur aurait pu nous dessiner une tente dans son bureau que je n’aurais même pas haussée un sourcil ! On alimente donc encore un peu plus les clichés, c’est parfait tout ce petit mélange…

-Énième thème : la famille. On ne peut pas l’enlever à cette saga, c’est le seul sujet abordé qui est un peu intéressant. Hokuto à une famille bien spéciale qui sort les crocs à tout moment pour la société familial. Il hait littéralement son père, mais finalement, les liens familiaux remporte le dessus contre toute cette rancœur. Tandis que Chiwa se bat pour rembourser les dettes de son propre père, une vraie leçon familiale.











Trame & intrigue :



-L’intrigue aurait dû simplement tenir en trois tomes, allez, quatre maximum, mais là, avec cette histoire déjà vue en plus, on étale le peut d’événements et d’actions qu’on à pour la saga sur dix tomes !

-Déjà la rencontre des personnages principaux laisse clairement à désirer, l’auteure n’a pas vraiment ce qu’on appel le souci du détail. (Hokuto est le grand patron de Chiwa, elle ne l’a jamais croisée alors qu’elle travaille depuis des mois et des mois dans l’entreprise. Seulement, après cette fameuse demande en mariage, bizarrement à chaque respiration ils se croisent et se rentrent dedans!)

-De se fait, les rebondissements sont totalement recyclés, ont tourne en boucle dans une sorte de routine : conflit : Non-dit/ jalousie/ trahison familial/ instant sentimental/ réconciliation. Absolument tous les tomes sont écrient de cette façon.






Personnages :



-Deux personnages principaux tout aussi banal que l’intrigue : La fille mignonne qui fait passer sa relation avant toute chose. Et un homme viril avec beaucoup d’argent et de pouvoir, gros pervers sur les bord.

-Beaucoup de non-dit et de jalousie dans cette relation, le centre de tout les rebondissements de Happy Marriage ?!. De ce fait, les personnages secondaires ne servent pas à autre chose pour l’histoire.






The End. :


Le fameux happy end bien cliché que tout les Disney et les téléfilms nous servent sur un plateau, c’est bon, c’est lassant. Vous l’avez comprit, la fin est loin de rattraper cette saga. Rien à retenir.








Extraits et citations :




"Dis-moi... Est-ce que... Je peux te croire, quand tu dis que tu es à moi ?" (T2)




"Le mariage... ça se fait avec quelqu'un qu'on aime. 
-Alors tombe amoureuse de moi." (T1)







Points faibles de Happy Marriage ?!:


-clichés.
-intrigue déjà vue.
-Manque cruellement de suspens.
-Rebondissements recyclés.
-Fin « happy end » bien trop vue.
-Trop de tomes pour si peu de contenu.





Points forts de Happy Marriage ?!:


-L’humour qu’essaye d’intégrer l’auteure.







Cible :


Comme je l’ai déjà dis plus haut, c’est un manga classé Josei à cause du sexe qui à une trop grande importance dans cette relation mais, qui de part son histoire et son contenu, équivaux à un Shojô. Difficile donc de donner le bon public visé, mais je dirais les 14-17 ans grand maximum.
Les lecteurs qui ont appréciés le manga Jeunes Mariés peuvent ce lancer sans hésitation, ils sont similaires sur de nombreux point.











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