Auteure :
Setona Mizushiro
Genre :
Shôjo (Vampires)
Parution
(FR): 2009- 2012
Nombres
de Tomes : 6
Je
résume le Tome 1 :
Un
tome, et pourtant deux date :
1908,
Vienne, nous fessons connaissance avec Dimitri, un chanteur d’opéra
qui, malgré son enfance quelconque, tien à se faire connaître,
pour se
faire remarquer,
par elle.
Pourtant, il meurt subitement,
et se réveille tout aussi
étrangement. Que c’est-il passé ? Ce n’est que lorsqu’une
répétition est terminée
qu’il découvre la vérité : Il est maintenant un vampire, et
viens de pousser au suicide la moitié de sa troupe. Les événements
et les rencontres défilent, toutes plus bizarres les unes que les
autres, avant que Dimitri ne décide de fuir Vienne.
On
le retrouve 100 ans plus tard, en 2008. Même personnage, autre vie.
Il est resté
le même mais, à du changer de profession et d’entourage. À
présent, il recherche une âme, pour lui et son Nid. À
quoi cette âme
peut-il bien lui servir ?
Mon
opinion :
Et
bien, je suis moi même surprise de la note que j’attribue à cette
courte saga : quatorze. Les trois premiers tomes m’ont
pourtant plus, sans pour autant avoir été un coup de cœur mais,
l’histoire avait de l’intérêt pour moi. Puis, les trois
derniers, j’ai clairement déchanté…
Auteure,
Plume & Illustrations :
-Les
illustrations sont élégantes, sombres, tirants même dans le style
gothique. Cela se mélange parfaitement avec l’écriture
mélancolique, presque poètique de Black Rose Alice.
-Le
langage utilisé lors de la première partie m’a grandement fait
tiquer : Lorsque la saga se déroule en 1908. Les mots sont loin
d’être adapté pour l’époque, sûrement pour toucher un
publique assez jeune d’ailleurs….
-L’humour
n’est pas son fort, on peut clairement apercevoir ses tentatives
mais, ça tombe à plat tout de suite, soit le thème sérieux
qu’elle à imposé écrase les pointes d’humour qu’elle tente
de glisser, soit la mangaka s’y prend trop maladroitement. C’est
la première fois que je lit du Mizushiro, je ne peux donc pas trop
donner mon avis…
Histoire
& Thèmes :
-On
commence par ce qui m’a plus tout de suite (la saga en prendra pour
son grade plus tard ;) ) : L’originalité de son thème
Vampirique ! Elle ne c’est pas contentée de suivre les mythes
du vampire banal que d’autres ont eu avant elle : Elle à
purement et proprement créée le sien. Je suis pas en train de dire
que son raisonnement est plus logique, mieux formé ou plus
intéressant mais, qu’il fallait oser ! La mangaka à tout
simplement passée outre les clichés et les croyances intégrés
dans notre société lorsqu’il s’agit des Vampires (qu’on à
sans nul doutes assimilé grâce à Dracula, twilight ect). Ça m’a
beaucoup attirée de voir comment elle pouvait percevoir les
vampires, de cette façon innovante et moderne.
-Autant
l’auteure à sut être innovante dans son thème fantastique,
autant au niveau de la romance, on nage en plein cliché. Elle
n’oublie rien : Le harem, l’ex petit ami, la fiancé… Mon
dieu ! Ce que j’ai pu me tirer les cheveux…
Trame
& intrigue :
-L’intrigue
est totalement tiré par les cheveux, ce qui n’est pas une mauvaise
chose en soit, ça peut même être très intéressant lorsque
l’auteure prend le temps d’expliquer. Et à mon goût, l’histoire
semblait plus intéressante en 1908 qu’en 2008.
-En
effet, les explications ont tardé à venir ; il faut attendre
le tome deux avant de commencer à comprendre son raisonnement, et je
pense que cela à du perdre pas mal de lecteurs, voir de les avoirs
carrément fait abandonner leur lecture.
-La
deuxième chose qui m’a gênée (mais qui ne concerne que le
premier tome toute fois) : Le décalage énorme de 100 ans, et
dont Setona Mizushiro n’a pas préparé son lecteur. On se retrouve
un peu perdue dans ses deux facettes de l’histoire, à cause de
l’éclipse très importante que l’auteure va finir par nuancer
que plus tard, au fil des tomes.
Personnages :
-Ce
qui m’a, une fois de plus fait grincer des dents, c’est la
manière dont elle se sert des personnages, à différents points de
vues : Cela ne l’a gêne pas de créer un personnage, qui sort
de nul part pour ensuite le faire disparaître aussi vite, en
l’espace d’un chapitre.
Ou
bien, de façonner un personnage qui se veut attachant, touchant même
(je parle ici de Koya) pour ensuite le salir de façon, je trouve,
assez violente, pour se débarrasser de lui alors que se personnage
était oublier depuis deux tomes…
The
End. :
-Comment
conclure sur une saga lorsque celle-ci n’est pas terminé ?
Qu’attend l’auteure ? Lorsque l’on termine le tome six, et
alors je pensais que c’était le dernier, Mizushiro
nous fait comprendre que ces
six tomes achevés sont la première partie de sa saga. Seulement,
elle à terminé son dernier tome Black Rose en 2012, alors y aura
t-il vraiment une fin ? Je suis grandement déçut de ce shôjo,
et le fait d’être dans le flou avec cette « fin » y
est pour beaucoup.
Extraits
et citations :
"Vous
savez... J'ai été capturé. Vous avez... Pris mon cœur au piège.
Mon âme à été attiré par la vôtre."
(T2, Koya)
"J'étais
dans un rêve dont je ne voulais pas me réveiller. Même si celui
ci... Se révélait être le pire des cauchemars."
(T4, Akiko)
"Quand
il s'agit d'amour... Qui peut prétendre agir en pensant aux autres ?
Tout le monde vit pour soit-même. Quand on dit "pour
quelqu'un", c'est finalement sa satisfaction personnelle qu'on
cherche." (T5,
Kaï)
Points
faibles de Black Rose Alice :
-L’auteure
ne sait gérer ni la romance (tous les clichés Shôjo sont présent),
ni l’humour.
-Les
explications sont tardives (on ne sait rien en fermant le premier
tome, pour vous donnez un exemple.)
-Manque
de travail au niveau des personnages. (Notamment Alice, qui change
totalement de personnalité)
-Trop
de personnage secondaires, et qu’on ne voit que très peu, pour une
si petite saga.
-Tout
tourne autour du Harem et de la procréation, l’histoire des
vampires est un peu trop laissé de côté.
-On
ne comprend pas bien la fin du dernier tome, y aura t-il une suite ?
(si vous êtes au courant de quoi que ce soit, n’hésitez pas!)
Points
forts de Black Rose Alice :
-L’originalité
de son mythes des vampires. Elle ne c’est pas servis des clichés
de bases, et à inventé son propre raisonnement.
-Les
dessins élégants.
Cible :
Ce
manga à était placé dans la catégorie Shôjo, je ne suis pas
d’accord avec ça. Il tire bien plus vers le Josei, je rappel que
le thème principal est la procréation. Des thèmes tels que le viol
est abordé, sans oublier quelques passages ou l’on voit nos
personnages avec différents amants (bien que tout soit censuré, ça
va de soit).
Ensuite,
je tiens à dire que ce n’est pas un manga qui peut-être lut à la
légère, de temps en temps, sans être vraiment « dedans ».
S’il l’on ne ce concentre pas, on loupe l’information et on ne
comprend plus.
Donc
une petite saga pour les lectrices (et lecteurs) déjà bien avancées
dans l’adolescence, aimant les histoires de vampires mais, qui
n’est pas forcément très regardants au niveau de la romance.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire